Au nom des valeurs de la gauche

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juin 2009

Aubry ne voudrait pas de Frêche

Aubry ne voudrait pas de Frêche
“Georges Frêche ne sera pas le candidat du Parti socialiste pour les régionales en Languedoc-Roussillon.” C’est ce qu’aurait dit Martine Aubry, première secrétaire du PS, ce midi, lors du déjeuner avec les présidents de région socialistes. Déjeuner auquel celui qui est exclu du PS n’était pas invité.
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Au lendemain des européennes, nouvelle conférence de presse de "Au nom des valeurs de la gauche"

Montpellier Plus - 11 juin 2009

Le résultat des élections Européennes a gonflé le moral du collectif "Au nom des valeurs de la gauche". 
Deux mois après la présentation de leur mouvement, les quatre principaux animateurs du front anti-Frêche ont lancé, hier, un nouvel appel aux mili- tants,«pour créer à gauche les conditions d’un rassemblement». Une union qui ne peut plus se réaliser, selon eux, autour de l’actuel Président de la Région. «Frêche n’est plus l’homme providentiel, déclare l’ancien maire communiste de Sète, François Liberti. Ses pratiques sont révolues. Il faut maintenant une autre approche qui soit plus respectueuse des citoyens». Fort des 22 % de sa "liste Europe écologie" sur la ville de Montpellier, Jean-Louis Roumégas assure que l’évolution est irréversible. «On va suivre cette dynamique jusqu’aux Régionales. La question de Georges Frêche est désormais nulle et non avenue. 
Il va encore essayer de nous bluffer mais l’avenir politique de la gauche se jouera ailleurs, sans lui». Affirmant que le programme électoral de 2004 n’a pas été respecté, les contestataires attaquent même Georges Frêche sur son bilan. Les lycées ? «Comparez avec ce qui c’est fait dans les autres régions». L’aménagement du territoire ? « Tout est fait pour que Montpellier devienne une mégalopole, le reste est oublié». Les finances ? «Comme sous Blanc,une partie du budget de la Région est discrétionnaire, c’est un problème». 
Soulignant «la très bonne initiative» d’Éric Andrieu, Christine Lazerges appelle pour sa part le Parti socialiste à aller «jus qu’au bout du renouvellement». «La politique de Georges Frêche se limite au clientéisme au jour le jour. Quelle tristesse de voir ça. Les clés de la construction sont clairement établies. La balle est dans le campdesmilitants».J.-M. S.

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